CHIFFRES CLÉS AU 31 MARS 2024 (DONNÉES IFRS NON AUDITÉES)

  • Solide croissance sous-jacente du chiffre d’affaires et très bonne dynamique commerciale tant dans les activités identifiées comme boosters dans le plan stratégique GreenUp (Technologies de l’Eau, Déchets Dangereux, Bioénergies et Efficacité énergétique), que dans les activités socle historique.
  • Confirmation de la solidité de notre modèle de création de valeur avec la forte croissance organique de l’EBITDA de +5,7 %, alimentée par la croissance du chiffre d’affaires, l'efficacité opérationnelle ainsi que les synergies, en avance sur l’objectif annuel.

Chiffre d’affaires de 11 556 M€ en croissance solide de +3,9 %(1) hors effet de la variation du prix des énergies

  • Forte croissance dans l’Eau et le Déchet
  • Activité Énergie stable hors effet de la baisse du prix des énergies
  • Au total, et après prise en compte de l’effet de la baisse du prix des énergies, le chiffre d’affaires est en léger retrait de 1,7 %(1), sans impact sur les résultats

EBITDA de 1 624 M€, en croissance soutenue de +5,7 %(1), dans la fourchette visée de +5 % à +6 %(1) :

  • 88 M€ de gains d'efficacité pour un objectif annuel de 350 M€
  • 42 M€ de synergies en avance sur l’objectif annuel

EBIT courant en forte hausse de +11,1 %(1), à 843 M€

Objectifs 2024 pleinement confirmés

Regulatory News:

Veolia Environnement (Paris:VIE):

Estelle Brachlianoff, Directrice générale du Groupe, a déclaré : Nous avons commencé l'année 2024 avec une forte demande pour nos services, qui s'est traduite par une croissance importante de 3,9 % du chiffre d'affaires. Cette demande est particulièrement soutenue dans nos activités boosters, et notamment les technologies de l’eau, où le chiffre d'affaires a progressé de 15 % avec les commandes en hausse de 50 %. Nos activités socles dans l’eau et les déchets ont également enregistré une croissance organique solide.

Nous avons continué à démontrer notre leadership technologique et notre approche innovante pour fournir à nos clients le service d'eau du futur, notamment par le renouvellement du contrat phare avec le Syndicat des Eaux de l'Île-de-France, d'une valeur totale de 4 milliards d'euros, et pour trouver les solutions qui nous permettent aujourd’hui d’être prêts pour lutter contre les polluants émergents, comme les PFAS, dans l'eau potable aux États-Unis et en France.

Cette dynamique commerciale conjuguée à une stricte discipline financière a permis de faire progresser notre EBITDA de 5,7 % et notre EBIT courant de 11,1 %. De très bons résultats, en ligne avec les priorités stratégiques du plan GreenUP, qui nous permettent de confirmer pleinement nos objectifs pour l’ensemble de l’exercice.

Détail des chiffres clés au 31 mars 2024

  • Le chiffre d’affaires consolidé du Groupe s'élève à 11 556 millions d’euros au 31 mars 2024, contre 12 007 millions d’euros au 31 mars 2023. Il varie de -1,7 % à périmètre et change constants et de +3,9 % hors effet prix des énergies qui impacte majoritairement l'Europe hors France. PARIS

L’évolution du chiffre d’affaires par effet se décompose comme suit

  • L’effet change ressort à -228 M€ (-1,9 %) et reflète principalement la variation des devises argentine, chilienne, tchèque et australienne, partiellement compensée par une amélioration sur les devises polonaise et britannique1.
  • L’effet périmètre de -17 millions d’euros (-0,1 %) comprend principalement l’impact de la cession de la SADE en date du 29 février 2024, partiellement compensé par l'acquisition de Hofmann (Allemagne) au premier trimestre 2024, et par l'entrée de périmètre de la Lydec (Maroc) en date du 25 janvier 2023.
  • L’impact des commodités (correspondant à l'évolution des prix des énergies et des recyclats) s’élève à -702 millions d’euros (-5,8 %), sous l’effet de la baisse des tarifs des énergies (-679 millions d'euros), principalement en Europe centrale et orientale, et de la baisse des prix des recyclats (-24 millions d'euros), provenant principalement du plastique.
  • L’effet climat s’élève à -46 millions d’euros (-0,4 %), essentiellement sur l’Europe centrale et orientale dont l’activité énergie est impactée par un hiver plus doux qu’en 2023.
  • La croissance intrinsèque est portée par des effets commerces et prix positifs. L’effet Commerce / Volumes / Travaux s’élève à +188 millions d’euros (+1,6 %), porté par une bonne dynamique commerciale, des volumes d'eau bien orientés, la progression des travaux réalisés, ainsi que par la croissance des activités Technologies de l'Eau. Les effets prix favorables représentent +355 millions d’euros (+3,0 %) et sont principalement liés aux révisions tarifaires évaluées à +4,6 % dans les déchets, et +3,6 % dans l’eau.

Le chiffre d’affaires au 31 mars 2024 est en progression sur l’ensemble des segments opérationnels par rapport au 31 mars 2023

Par rapport au 31 mars 2023, le chiffre d’affaires au 31 mars 2024 varie de -1,7 % à périmètre et change constants. Il est en forte progression sur le segment des Technologies de l'Eau, en croissance soutenue sur le segment Reste du monde et en croissance modérée sur la France et Déchets Spéciaux Europe, alors qu'il diminue sur le segment Europe hors France en raison de la baisse des prix de l'énergie comparativement à 2023.

Le chiffre d’affaires de France et déchets spéciaux Europe s’élève à 2 318 millions d’euros et affiche une croissance organique de +2,7 % comparé au 31 mars 2023 :

  • Le chiffre d’affaires de l’Eau France de 711 millions d'euros progresse de +4,4 %, principalement grâce à l’effet positif des révisions tarifaires de +4,6 % et de volumes en hausse de +0,5 %.
  • Le chiffre d’affaires de l'activité Déchets France s'élève à 733 millions d'euros et augmente de +3,4 % en raison de l'effet positif des indexations et révisions tarifaires et malgré des volumes peu dynamiques.
  • Le chiffre d’affaires de l'activité Déchets spéciaux Europe s'élève à 556 millions d'euros, en augmentation de +2,6 %, impacté principalement par l'augmentation des tarifs dans les activités maintenance assainissement, qui compense l'effet de la baisse du cours des huiles. Les volumes du premier trimestre sont globalement résilients par rapport à 2023.

Le chiffre d’affaires de l’Europe hors France atteint 5 147 millions d’euros au 31 mars 2024, en croissance organique de -10,8 %, en raison de la baisse des prix des énergies comparativement à 2023. Hors effet prix des énergies, le chiffre d'affaires augmente de +1,0 %.

  • En Europe centrale et orientale, le chiffre d’affaires s’établit à 3 244 millions d’euros, en baisse de -16,2 %, fortement impacté par la baisse du prix des énergies, et dans une moindre mesure par un effet climat défavorable (-40 millions d'euros) en raison d'un hiver plus doux que l'année dernière.
  • En Europe du Nord, le chiffre d’affaires de 1 020 millions d’euros progresse de +2,8 %. Cette augmentation s'explique principalement par l'évolution du chiffre d'affaires au Royaume-Uni, en hausse de +5,6 % à périmètre et change constants, principalement sur l'activité déchets qui bénéficie de l'indexation des tarifs et de la hausse des volumes traités notamment en incinération grâce à une très bonne disponibilité des outils.
  • En Ibérie, le chiffre d’affaires s'élève à 613 millions d'euros, en léger recul de -0,6 %. Il est négativement impacté par la baisse du prix des énergies, compensée par des hausses tarifaires et une augmentation de l'activité travaux sur les activités eau.
  • L'Italie génère un chiffre d'affaires de 270 millions d'euros, en diminution de -7,1 %, principalement en raison de la baisse des prix de l'énergie, sans impact sur la marge du fait de la baisse parallèle des coûts d'achat de l'énergie.

Le chiffre d’affaires du Reste du monde atteint 2 932 millions d’euros, en croissance organique de +6,2 %, en progression sur l’ensemble des géographies, hors Asie :

  • Le chiffre d’affaires s'élève à 473 millions d'euros en Amérique latine et augmente de +24,0 %, porté notamment par de bons volumes de déchets notamment au Brésil et en Colombie, l'effet des révisions tarifaires sur les activités eau au Chili et l'impact de la hausse des prix en Argentine (compensée par ailleurs par la dévaluation du peso argentin).
  • En Afrique Moyen-Orient, l’activité génère 385 millions d'euros de chiffre d'affaires, en augmentation de +4,1 %, tiré principalement par la croissance des services énergétiques au Moyen-Orient, ainsi que par la progression de l'activité au Maroc.
  • En Amérique du Nord, le chiffre d’affaires s’établit à 784 millions d’euros, en hausse de +3,8 %. L'activité Déchets dangereux affiche une bonne dynamique, avec des tarifs et des volumes en hausse. L'activité Eau a bénéficié de hausses tarifaires, ainsi que de volumes en hausse de 3 % sur l'activité « eau régulée ».
  • Le chiffre d’affaires en Asie s'élève à 638 millions d'euros, en baisse de -3,8 %, principalement en raison d'une activité inférieure des usines de traitement de déchets dangereux en Chine et en Inde. Ces effets sont partiellement compensés par une bonne dynamique commerciale dans l'efficacité énergétique à Hong Kong (+10,0 %), dans l'énergie en Chine et dans l'eau au Japon (+4,7 %).
  • Dans le Pacifique, le chiffre d’affaires de 494 millions d'euros est en hausse de +8,5 %, principalement grâce à l'effet des révisions tarifaires et des volumes de déchets traités en augmentation, ainsi qu'à une bonne dynamique de la maintenance industrielle.

L’activité Technologies de l’Eau génère un chiffre d'affaires de 1 156 millions d'euros, en progression de +15,3 %, portée par la croissance de WTS dans les activités Systèmes d'Ingénierie et Solutions Chimiques, ainsi que par la croissance de VWT dans ses activités Services et Technologies. Le montant de prise de commandes de l'activité Technologies de l'Eau2 enregistré au 31 mars 2024 s’élève à 1 025 millions d’euros, en forte augmentation par rapport au 31 mars 2023 (785 millions d’euros), soit une hausse de 31 %.

La croissance organique du chiffre d’affaires par métier par rapport au 31 mars 2023 s’est établie de la façon suivante :

  • Le chiffre d’affaires de l’activité Eau progresse de +6,5 % à 4 343 M€ portée par la hausse de l'activité Eau exploitation (+3,8 %) et la croissance des activités Technologie et Construction (+12,7 %) ;
    • L’Eau Exploitation progresse de +3,8 %, à 3 021 M€, avec des hausses tarifaires sur l'ensemble des géographies, un bon niveau d'activité travaux et des volumes bien orientés, principalement en Europe centrale et orientale (+4,2 %), aux États-Unis (+3 %), au Maroc (+2,4 %). En France et en Espagne, les volumes sont stables.

    • Le chiffre d’affaires Technologie et Construction est en progression de +12,7 %, à 1 322 M€, porté principalement par les activités Technologies de l'Eau.

  • Le chiffre d’affaires de l’activité Déchets progresse de +5,5 % à périmètre et change constants à 3 746 M€. Il bénéficie de révisions tarifaires favorables (+4,6 %), qui compensent l'impact de la baisse du prix des matières recyclées (-0,7 % sur le chiffre d'affaires) constatée principalement en Europe du Nord. L'effet commerce/volume/travaux est positif (+1,2 %), marqué par des volumes en hausse, particulièrement au Royaume-Uni et en Australie, et une hausse de l'activité déchets dangereux en dehors de l'Asie.
  • Le chiffre d’affaires de l’activité Énergie s’élève à 3 468 M€ et varie de -16,5 % en raison de la baisse des prix de l'énergie. L’effet climat, défavorable sur le premier trimestre 2024, s’élève à -1,0 % sur le chiffre d'affaires en raison d'un hiver plus doux. Le chiffre d'affaires des services énergétiques bénéficie, lui, d'une bonne activité commerciale en Europe (Italie, Belgique), au Moyen-Orient et à Hong-Kong.

Forte croissance de l’EBITDA, à 1 624 M€ contre 1 574 M€ au 31 mars 2023, soit une croissance de +5,7 % à périmètre et change constants

L’impact change sur l’EBITDA s’élève à -58 millions d’euros (-3,7 %). Il reflète principalement la dépréciation des devises argentine, chilienne et tchèque, partiellement compensée par une appréciation de la devise polonaise3.

L’effet périmètre de +19 millions d’euros (+1,2 %) comprend principalement l’impact de l'acquisition de Hofmann (Allemagne) au premier trimestre 2024, et par l'entrée de périmètre de la Lydec (Maroc) en date du 25 janvier 2023, partiellement compensé par la cession de la SADE en date du 29 février 2024.

Des facteurs externes impactent négativement l'EBITDA :

  • L'évolution des prix des commodités (énergies et matières recyclées) a un impact net défavorable sur l’EBITDA à hauteur de -28 millions d'euros (-1,8 %), lié principalement à la baisse des prix de vente de l’énergie nette de la baisse des coûts d’achat, pour -19 millions d'euros, et à la baisse des prix des matières recyclées (-9 millions d'euros), principalement en Europe du Nord.
  • L’impact climat est de -19 millions d’euros (-1,2 %), principalement sur l’Europe centrale et orientale, affectée par un hiver plus doux qu'en 2023.

La croissance interne est portée par des effets Commerce / Volumes / Travaux favorables et par les gains d'efficacité générés par le Groupe, qu'il retient à hauteur de 43 %.

  • Les effets Commerce / Volumes / Travaux sont favorables à hauteur de +57 millions d’euros (+3,6 %) et résultent de l’effet positif sur le chiffre d’affaires.
  • L'efficacité nette des gains partagés avec les clients, des renégociations de contrats et d'effets de décalage sur la répercussion des coûts génère 38 millions d’euros (+2,4 %) d'EBITDA supplémentaires en 2024. Elle représente un taux de rétention de 43 % des gains générés par le Groupe dans le cadre du plan d'efficacité (88 M€).

Les gains générés par le plan d’efficacité contribuent à hauteur de 88 millions d’euros au premier trimestre 2024, en ligne avec l'objectif fixé à 350 millions d'euros pour 2024. Le plan porte principalement sur l’efficacité opérationnelle (à hauteur de 69 %) et les achats (18 %), et concerne l’ensemble des géographies : la France et les déchets spéciaux Europe (23 %), l’Europe hors France (40 %), le Reste du monde (32 %), et les Technologies de l'Eau (5 %).

Les synergies réalisées suite à l’intégration de Suez s'élèvent à 42 millions d’euros. Cumulées aux synergies déjà réalisées en 2022 et 2023, elles s'élèvent à 357 millions d'euros, en avance par rapport à l'objectif de 400 millions d'euros cumulés à fin 2024, en particulier grâce aux économies d'échelles réalisées sur les achats.

Forte croissance de +11,1 % de l’EBIT courant à 843 M€, à périmètre et change constants.

La progression de l’EBIT courant par rapport au 31 mars 2023 à périmètre et change constants s’élève à +88 millions d’euros (+11,1 %), et s’explique principalement par :

  • une forte croissance de l’EBITDA (+89 millions d’euros à périmètre et change constants) ;
  • une hausse des amortissements4 , y compris le remboursement des actifs financiers opérationnels, principalement en Europe centrale et orientale (notamment Ouzbékistan) compensée par l'impact positif du poste provisions nettes des plus-values de cessions d'immobilisations ;
  • une baisse de la quote-part de résultat net sur les coentreprises de -6 millions d'euros à périmètre et change constants, en raison d’un produit non récurrent au T1, 2023

L’effet change sur l’EBIT courant est négatif de -42 millions d’euros et reflète principalement la variation des devises argentine (-23 millions d’euros) et chilienne (-17 millions d'euros).

Évolution du free cash flow et de l'endettement financier net

Le free cash-flow net avant investissements financiers et dividendes s'établit à -673 millions d'euros au 31 mars 2024 et varie de -191 millions d'euros par rapport au 31 mars 2023 (-482 millions d'euros).

L’évolution du free cash-flow net par rapport au 31 mars 2023 s'explique par :

  • L’augmentation de l’EBITDA portée par la croissance organique des activités et les gains générés par les plans d’efficacité opérationnelle et commerciale ainsi que par les synergies ;
  • Des investissements industriels nets de -915 millions d’euros contre -894 millions d’euros au 31 mars 2023. Cette augmentation s'explique par la hausse des investissements bruts de 16 millions d'euros, principalement en raison des projets de décarbonation en cours de réalisation en Europe centrale et orientale.
  • La variation du besoin en fonds de roulement opérationnel qui se dégrade de -149 millions d'euros par rapport au 31 mars 2023, impacté notamment par des effets de calendrier défavorables et des décaissements plus importants qu'au premier trimestre 2023 au titre des redevances de l'eau reversées aux collectivités et des achats de quotas de CO2.
  • La variation des frais financiers de -60 millions d'euros par rapport au 31 mars 2023, qui provient principalement d’un produit non récurrent au 1ᵉʳ trimestre 2023 et de l’évolution du solde des charges financières variables et des produits de trésorerie.

L’endettement financier net s'établit à 18 997 millions d'euros au 31 mars 2024 contre 17 903 millions d’euros au 31 décembre 2023. Par rapport au 31 décembre 2023, la variation de l’endettement financier net s'explique principalement par les éléments suivants :

  • le free cash-flow net du trimestre à hauteur de -673 millions d’euros impacté notamment par la saisonnalité du Besoin en fonds de roulement en baisse sur le premier trimestre (-978 millions d'euros).
  • des investissements financiers nets à hauteur de -129 millions d’euros suite à l'acquisition du Groupe Hofmann GmbH et à la cession de la filiale SADE
  • le remboursement de la dette hybride y compris coupons pour -209 millions d'euros.

L’endettement financier net est par ailleurs impacté par un effet de change et de variation de juste valeur favorable de 81 millions d’euros au 31 mars 2024.

Perspectives 2024 confirmées

Au regard des très bons résultats du 1ᵉʳ trimestre 2024, la guidance 2024 est pleinement confirmée :

  • Solide croissance organique(1) (2) du chiffre d’affaires
  • Économies de coûts supérieures à 350 M€ auxquelles s’ajoutent de nouvelles synergies attendues pour un montant cumulé supérieur à 400 M€ fin 2024, en ligne avec l’objectif de 500 M€ cumulés
  • Croissance organique(1) de l’EBITDA de +5 % à +6 %
  • Résultat net courant part du groupe supérieur à 1,5 Md€(3)
  • Leverage ratio attendu < 3x(3)
  • Croissance du dividende en ligne avec celle du bénéfice net courant par action

(1) À périmètre et change constants / (2) Hors prix des énergies / (3) Hors PPA Suez

Perspectives GreenUp 2024-2027 confirmées

  • Croissance solide du chiffre d’affaires5
  • 350 M€ d’économies par an
  • ≥ 8 milliards d'euros d'EBITDA en 2027
  • ~ 10 % de croissance annuelle du résultat net courant sur 2023-20276
  • Levier financier ≤ 3x
  • Croissance du dividende en ligne avec le BNPA courant

 

  • 4 milliards d’euros d’investissements de croissance dont 2 milliards priorisés sur 3 activités stratégiques (les boosters de croissance)
  • Décarbonation : 18 millions de tonnes de CO2 effacées en 2027 (scope 4) & trajectoire de baisse des émissions compatible avec 1,5 °C de réchauffement (scope 1&2)
  • Régénération : 1,5 milliard de m3 d'eau douce économisée en 2027
  • Dépollution : 10 millions de tonnes de déchets dangereux et de polluants traités en 2027

 

Calendrier

  • 17 octobre : Deep dive Water Technologies and Innovation

 

À PROPOS DE VEOLIA

Le groupe Veolia a pour ambition de devenir l’entreprise de référence de la transformation écologique. Présent sur les cinq continents avec près de 213 000 salariés, le groupe conçoit et déploie des solutions utiles et concrètes pour la gestion de l’eau, des déchets et de l’énergie qui participent à changer radicalement la donne. Au travers de ses trois activités complémentaires, Veolia contribue à développer l’accès aux ressources, à préserver les ressources disponibles et à les renouveler. En 2023, le groupe Veolia a servi 113 millions d’habitants en eau potable et 103 millions en assainissement, produit 42 térawattheures d’énergie et valorisé 63 millions de tonnes de déchets. Veolia Environnement (Paris Euronext : VIE) a réalisé en 2023 un chiffre d’affaires consolidé de 45,3 milliards d’euros. www.veolia.com

AVERTISSEMENT IMPORTANT

Veolia Environnement est une société cotée à Euronext Paris et le présent communiqué de presse contient des « déclarations prospectives » (forward-looking statements) au sens des dispositions du U.S. Private Securities Litigation Reform Act de 1995. Ces déclarations ne sont pas des garanties quant à la performance future de la Société. Les résultats effectifs peuvent être très différents des déclarations prospectives en raison d’un certain nombre de risques et d’incertitudes, dont la plupart sont hors de notre contrôle, et notamment : les risques liés au développement des activités de Veolia Environnement dans des secteurs très concurrentiels qui nécessitent d'importantes ressources humaines et financières, le risque que des changements dans le prix de l'énergie et le niveau des taxes puissent réduire les bénéfices de Veolia Environnement, le risque que les autorités publiques puissent résilier ou modifier certains des contrats conclus avec Veolia Environnement, le risque que les acquisitions ne produisent pas les bénéfices que Veolia Environnement espère réaliser, les risques liés aux termes et conditions figurant habituellement dans les accords de cession, le risque que le respect des lois environnementales puisse devenir encore plus coûteux à l'avenir, le risque que des fluctuations des taux de change aient une influence négative sur la situation financière de Veolia Environnement telle que reflétée dans ses états financiers avec, pour résultat, une baisse du cours des actions de Veolia Environnement, le risque que Veolia Environnement puisse voir sa responsabilité environnementale engagée en raison de ses activités passées, présentes et futures, de même que les autres risques décrits dans les documents déposés par Veolia Environnement auprès de l'Autorité des marchés financiers. Veolia Environnement n’a pas l’obligation ni ne prend l’engagement de mettre à jour ou réviser les déclarations prospectives. Les investisseurs et les détenteurs de valeurs mobilières peuvent obtenir gratuitement auprès de Veolia Environnement (www.veolia.com) copie des documents déposés par Veolia Environnement auprès de l’Autorité des marchés financiers.

______________________

(1) À périmètre et change constants

1Principaux impacts change par devises : peso argentin (-159 millions d’euros), peso chilien (-40 millions d'euros), la couronne tchèque (-33 millions d’euros) et le dollar australien (-26 millions d'euros), compensés par le zloty polonais (+84 millions d'euros) et la livre sterling (+23 millions d'euros).

2Pour les activités Projets et Produits. Le montant de prises de commandes total s’élève à 1 757 M€ en hausse de 50% par rapport au 31 mars 2023 (1 188M€)

3Principaux impacts de change par devises : peso argentin (-29 millions d’euros), peso chilien (-20 millions d'euros), la couronne tchèque (-10 millions d’euros), compensés par le zloty polonais (+12 millions d'euros)

4Hors allocation du prix d'acquisition de Suez.

5Hors prix des énergies.

6À taux de change constant.

 

RELATIONS PRESSE Laurent Obadia - Evgeniya Mazalova Anna Beaubatie - Aurélien Sarrosquy Tél.+ 33 (0) 1 85 57 86 25 presse.groupe@veolia.com

ANALYSTES & INVESTISSEURS Ronald Wasylec - Ariane de Lamaze Tél. + 33 (0) 1 85 57 84 76 / 84 80 investor-relations@veolia.com

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